Un des algorithmes centraux utilisés pour le HTTPS, SHA-1, n’est plus suffisamment sécurisé contre des attaques par force brute.
Source: www.silicon.fr
La faiblesse de SHA-1 était déjà connue des spécialistes, les principaux navigateurs Internet ayant d’ailleurs prévu de ne plus accepter de signatures basées sur cet algorithme à partir de janvier 2017. Une échéance trop lointaine, assurent aujourd’hui les chercheurs qui expliquent qu’une attaque à des coûts accessibles par une organisation cybercriminelle !